Récemment, nos équipes ont été sollicitées pour proposer un événement lors du cocktail précédant le dîner de gala d’une grande assemblée générale. Le thème retenu était naturellement le foot, car il s’agissait d’ECA, l’association des clubs de football européens dont le président est Nasser Al-Khelaïfi.
Les représentants des plus grand clubs européens, mais aussi de certains plus confidentiels, étaient au rendez-vous de cette journée de travail, achevée dans la détente et avec le plaisir de se retrouver, occasion devenue rare depuis le début de la crise sanitaire.
Pour la petite histoire, le concours de précision, à la fois esthétique (il cadrait parfaitement avec le domaine et l’ambiance jazzy décontractée) et spectaculaire, aura vu la victoire des représentants de l’AS Monaco.
Animer un centre commercial à ciel ouvert, c’est apporter la dernière petite touche de plaisir aux passants. Familles, groupe d’amis, collègues… Personne ne peut passer à côté du Radar Foot photo sans tenter sa chance.
Une mise en place soignée, des animateurs accueillants qui invitent à tenter sa chance, il n’en faut pas davantage pour faire de ce module un succès. Chacun obtient sa vitesse de tir, et il n’est pas essentiel d’être un fan de foot ni même un sportif aguerri pour essayer ! Cerise sur le gâteau, chacun repart avec un souvenir.
Certains ne jouent que pour immortaliser leur expérience fun et spectaculaire… Ceux qui viennent à plusieurs se lancent dans des concours et des défis sans fin !
Pour l’organisateur, c’est l’occasion, en plus du divertissement, d’afficher ses couleurs et de faire savoir à ses clients et visiteurs toute son ambition événementielle.
Ce module est particulièrement demandé lors des compétitions internationales, comme la Coupe du Monde et l’Euro. Histoire de rêver en se comparant aux pros !
Depuis plusieurs années, nos équipes contribuent à l’animation du Festival de glace de Massy (91), organisé par l’association des 4M. Au programme : ateliers de dessin pour les enfants, curling, sculpture sur glace et surtout le « Concours de lancer de boule de neige ».
Une forte affluence pour cet évènement plongeant les plus jeunes, comme les plus âgés, dans la magie des fêtes de fin d’année.
Dès le premier jour (le Festival se déroule sur un week-end), petits et grands affluent pour participer au concours de lancer de boule de neige encadré par Lucas & Noé. Cette animation, unique en France, attise effectivement la curiosité de tous.
Changement par rapport à janvier 2020, le respect des gestes barrières était de mise pour cette animation.
Chaque lancer était immortalisé par une photographie imprimée avec la vitesse du lancer, reprenant les couleurs du Festival de glace. Une fois le papier photo sorti de l’imprimante, direction la tente des organisateurs pour participer au concours et gagner des lots en tout genre, selon la vitesse du lancer.
Une nouvelle fois, chacun a pu constater qu’il est impossible de passer près de cette animation sans vouloir tenter sa chance.
Le lancer attire les enfants, mais aussi les adultes. Parfois, les plus jeunes se font accompagner, pour de superbes photos de famille !
Finalement le record du week-end 2021 s’établira à 99,89 km/h ! Une jolie performance, réalisée par un adulte comme on s’en doute. Mais ça n’enlève rien au bonheur de chaque tireur, replongé dans une joie enfantine des plus simples ! A l’année prochaine !
Le déconfinement redonne de l’espoir aux professionnels de nombreux secteurs, notamment l’événementiel, comme aux particuliers. Si l’animation des lieux de vie va revenir progressivement sur le devant de la scène, attention à la programmation. Animation et gestes barrières doivent être soigneusement conciliés.
Depuis plusieurs années, le But électronique est présent dans les espaces commerciaux, les centres-villes, ou lors de soirées d’entreprises. Une approche de ses caractéristiques permet rapidement de réaliser qu’il réunit un cocktail d’avantages non négligeables.
A l’heure du déconfinement et des gestes barrières, voici les dix points forts de l’animation « But électronique ».
C’est l’avantage majeur de ce module football. Avec l’animation But électronique, on évite les risques de transmission par contact manuel. Shootez 3 fois, regardez vos scores sur l’écran TV… Vous pouvez jouer en gardant les mains dans les poches !
Depuis son élaboration, ce jeu de pénalty permet à un joueur seul de prendre son élan sans obstacle. La zone de tir est son espace réservé. Les spectateurs sont tenus à distance. L’animateur veille à ne pas s’approcher à moins de 2 mètres du tireur.
Pas question de s’éterniser sur ce lieu d’animation ! Il faut moins d’une minute pour réaliser ses 3 tirs au but. Ensuite, le participant laissera la place au suivant, dont il scrutera la performance à distance raisonnable.
Vous craignez une baisse de fréquentation en cette période de reprise ? Avec ou sans foule, les mises en place spectaculaires de nos animations attirent l’œil de loin. Certains ne font que passer ? Ils comprendront le principe instantanément et apprécieront le divertissement proposé. Une PLV bien pensée jouera son rôle au maximum.
Dans le contexte actuel, un visiteur peut ne pas apprécier de converser plusieurs minutes avec un animateur. Aucun problème avec le But électronique, d’une simplicité évidente : il faut shooter. La langue du foot est universelle !
Depuis plusieurs années, nos équipes sont habituées à gérer les flux de public. Comme pour l’accès aux boutiques ou administrations, des marquages au sol pourront permettre de laisser 1 mètre ou davantage entre les personnes. La file peut éventuellement permettre un visuel sur l’animation en cours.
Pour leur propre protection, mais aussi celle du public, nos animateurs portent des masques pour limiter le risque de propagation du virus. Du gel hydroalcoolique peut également être mis à disposition. Ce sont des spécialistes de l’animation, gestes barrières inclus.
Privés de ballon rond pendant des mois, les passionnés n’en peuvent plus d’attendre. Plus de foot à la TV, les fins de compétition chamboulées, l’Euro 2020 décalé… La tentation de voir s’ils ont gardé leur niveau sera trop forte !
Les animations sportives risquent d’être prisées à l’issue d’une période marquée par un confinement sans précédent. Mais pas besoin non plus de s’épuiser. Le « shoot » est exactement le niveau d’effort que l’on peut recommander pour un retour à l’exercice sans risque.
Smartphones, PC, TV… Ces derniers temps, les écrans ont pris une place (encore plus) considérable dans notre quotidien. Les visios, pour le boulot ou l’apéro, ont fini par nous lasser. Place au présentiel et au contact simple avec un ballon !
Alors, que pensez-vous de cette solution d’animation et de son respect des gestes barrières ? Connaissez-vous des modules et concepts encore plus adaptés ? A vos suggestions !
On calcule ses gestes, on compte ses déplacements, on retient presque littéralement son souffle… Cette pandémie a modifié radicalement les comportements dans l’espace public et dans les surfaces commerciales. Pour autant, faut-il s’interdire d’envisager le retour de moments d’amusement et, finalement, le triomphe du sourire ? Éléments de réponse.
Les animations et l’événementiel à l’heure des gestes barrières
Les professionnels de l’événementiel, premier secteur touché et dernier à reprendre, n’ont pas nié le caractère « accessoire » de leur activité au moment de s’effacer. Pour autant, cette prise de responsabilités ne doit pas enlever tout sens à leur rôle social.
La réalité médicale a « fait sa fête » au concept de rassemblement
Mécaniquement, les temps récents ont bien montré qu’une telle crise nous renvoyait à nos instincts d’Homo sapiens. Personne n’aurait en tête de se divertir avant d’avoir réglé la question de se nourrir.
De plus, la fameuse contagiosité du Covid-19 a rapidement balayé certains de nos réflexes. Le simple bon sens a commandé qu’il faudrait attendre pour se regrouper physiquement.
C’est avec ce simple constat que le monde de l’événementiel, dans son immense majorité, s’est assez vite effacé. Dans l’actualité spécialisée, on n’a peu lu ni entendu de remise en question frontale des mesures gouvernementales.
La magie de l’animation physique demeure
Réunions de dix, cent, mille, cinq-mille personnes… Personne n’est vraiment dupe, au fond, de l’exactitude des seuils utilisés pour encadrer l’activité humaine, notamment festive. Mais face à un gouvernement qui avoue ne pas tout savoir de cette pandémie, il est à saluer la prise de hauteur des responsables événementiels, organisateurs de festivals en tête, qui n’ont pas cherché à pinailler, à jouer avec une date, un nombre de participants, etc.
Pendant ce temps-là, les fameux « gestes barrières » ont été communiqués pour pouvoir, a minima, permettre aux activités de première nécessité de se poursuivre. Sous l’œil intéressé d’un secteur qui, s’il prend acte du boulevard ouvert aux solutions digitales, ferait une grave erreur en enterrant la magie particulière de l’animation physique d’un lieu, du vrai « contact » humain et du partage d’une expérience palpable.
… mais il est essentiel de se divertir
L’Histoire, mais aussi quelques récentes scènes de vie, montrent que l’être humain ne se résout pas éternellement à renoncer à son amusement. Dans les temps les plus obscurs, faire une croix sur les moments d’évasion et ajouter du fatalisme à une situation douloureuse n’a jamais rien arrangé.
On ne vit pas seulement pour vivre
Un habitant confiné fait cracher ses baffles dans la rue. Dalida, Trenet, un folklore italien ou un gros son électro… La réaction des passants, des voisins à leur balcon, ne ressemble pas à ce qu’on connaît. Ici, à Nantes, les habitants d’une rue du centre ont tendu des guirlandes entre eux. Impensable avant le 15 mars.
On écoute, on regarde, on danse, comme pour se rappeler qu’on vit pour ça. Après tout, qu’est-ce que vivre, si c’est seulement respirer, manger, dormir et recommencer ? Comme un défi au virus, la population ne veut plus « seulement » se recroqueviller sur la lecture, l’écoute de la musique à domicile, le binge-watching Netflix (déjà, le divertissement, oasis dans le désert de nos libertés passées).
Tôt ou tard, l’esprit réclame une bouffée de rêve
Bien sûr, cette envie d’investir le champ des possibles, de l’étendre au maximum, n’a pas touché chacun au même moment. Mais dans le voyage que nous propose 2020, c’est une étape qui nous attend tous. A long terme, personne ne se complaira dans l’isolement, le trop peu de contact humain, et surtout la fermeture d’une fenêtre sur autre chose.
A ce titre, le chef d’œuvre de Roberto Benigni La vie est belle (1997), illustre parfaitement cette réalité un peu contre-intuitive. Bien sûr, pas question ici de comparer l’horreur des camps de concentration avec la pandémie actuelle. Mais des mécanismes humains de réponse à la difficulté, à la souffrance, à la limitation de nos libertés, se retrouvent.
Dans les premiers temps, le héros, Guido, doit sans doute essuyer les regards consternés de ses compagnons d’infortune. « Comment ose-t-il jouer avec son fils dans cette situation ? » Et puis, lentement, le temps fait bouger les lignes.
L’animation redeviendra un jour une priorité
Chaque nouveau jour est une chance de faire réaliser à une personne de plus que s’apitoyer, si c’est bien normal, c’est capituler totalement, ouvrir en grand la porte de son âme à l’invasive désolation.
On a besoin de jouer, de sourire, d’échanger, de se divertir, même en situation de crise. Surtout en situation de crise.
Il y a fort à parier que la question de l’animation des lieux de vie, lentement, à son rythme, à son tour, reviendra au sommet de la pile des nécessités. Et le sourire gagnera. Encore.
En cette période bien particulière, tout le monde s’ennuie. Les amoureux du ballon rond ne font pas exception. Nos équipes ont planché tout le week-end élaboré ce petit quiz pour les distraire. Alors, combien de joueurs es-tu capable de découvrir ?
Rendez-vous ici la semaine prochaine avec le niveau 2, un peu plus tiré par les cheveux ardu.
Chacun aimerait savoir à combien de km/h il frappe un ballon de football. Si les records des pros dépassent les 200 km/h, plus facilement avec un ballon en mouvement, les supporteurs sont un peu en-dessous.
Cette fois, sur un peu plus de 3 heures d’essais (très nombreux), les meilleurs ont dépassé les 100 km/h, avec un record à 111.
Fan expérience avant tout !
Il faut dire qu’aucun vent ne gênait, ni n’aidait les tireurs. Les moins puissants auront toutefois la consolation de se dire qu’ils ont marqué davantage que les pros ce soir-là.
Cela prouve en tout cas que la qualité du match et celle de la fameuse « Fan expérience » ne sont pas strictement équivalentes. C’est une conviction profonde partagée par un nombre croissant de spécialistes de l’événementiel des clubs de sport professionnel.
Proposer une fanzone fournie, riche en animations diverses, c’est une clef primordiale. Sinon, comment souffler sur les braises parfois timides de la passion foot en France ?
Samedi, la mairie de Saint-Leu-la-Forêt, en région parisienne, organisait une nouvelle fois sa Journée des Droits de l’Enfant. L’occasion pour la population locale de s’informer, mais également de se divertir.
En plus de nombreux ateliers prévus à l’intérieur de la Salle de la Croix Blanche, deux animations étaient proposées sur le parvis.
Un mini-parcours de draisienne amenait les plus jeunes à faire preuve d’adresse et de mobilité. Les équipes de Fast-Foot avaient quant à elles installé le fameux Lancer de Boule de Neige, dans sa version « arche gonflable ».
Le succès a été rapide pour cette animation hivernale féérique qui ramène chacun à ses premiers souvenirs neigeux. Les enfants ont été les plus accros, lançant inlassablement les balles de tennis blanches, avec le fol espoir de faire mieux que le copain… ou simplement de s’améliorer.
Finalement, un adulte bien échauffé (et réchauffé, puisqu’il tombera la veste pour améliorer son score) a établi le record du jour à 111 km/h !
L’animatrice Alexandrine, coiffée d’un bonnet de Père Noël, n’en revenait pas ! C’était la première fois qu’une telle animation, innovante en France, était proposée à Saint-Leu et tout le monde en redemandait.
Entre 14 et 17 h, le parvis a été l’occasion de gagner quelques degrés de chaleur en s’activant. Mais beaucoup ne s’attardaient pas aussi longtemps qu’ils l’auraient pu, car un spectacle thématique les intéressait à l’intérieur, avec une température forcément plus clémente.
Chacun a également profité d’un parcours de mobilité en fauteuil roulant, et des balades à dos d’âne. Un programme complet qui témoignait du soin tout particulier apporté à l’organisation de cet événement.
Les visiteurs auront pu y trouver du sens, mais aussi se divertir. Point positif, ni la pluie ni la (vraie) neige ne se sont invitées à la fête, pour le plus grand plaisir des participants ! A l’année prochaine pour remettre ça.
Après une décennie de fun autour du sport et des animations hivernales, les gérants passent la main et sont en train de choisir le meilleur repreneur pour leurs solutions uniques...
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